Les déboires d’un novice en Joomla partie 1 : L’installation

février 14, 2009

Introduction du projet

Étant étudiant en Master 2 de Management de Projet, je dois effectuer un projet (en groupe de 3) de fin d’étude. Féru de web et de nouvelles technologies, ce projet s’est tout naturellement orienté vers la création d’un site internet dynamique à vocation communautaire. Celui-ci sera développé pour une prestation d’une entreprise spécialisée en gestion des ressources humaines.

Après notre phase de benchmarking, de conception et de graphisme, nous voici à l’heure de vérité, l’implémentation.
Nous avons opté pour une solution open source à savoir le CMS Joomla. Je vous passerai les détails qui nous ont poussé à faire ce choix.

Je ne suis pas le développeur attitré du projet mais le webdesigner et le conseillé en stratégie web 2.0 communication et ergonomie, donc je n’ai pas vraiment de compétence immédiate en codage (mise à part en CSS et HTML de base pour site non dynamique…). Le problème est que je me lance dans le développement du template via Joomla et c’est là que les galères (si je peux me permettre) commencent. Une formation est prévu par mon master, formation que j’attends toujours.

L’installation de Joomla en Local

Mes deux premières heures Joomlaienne, furent chaotiques.
Tout d’abord l’installation de easy php pour simuler le serveur en local. Une image sera parfaite pour exprimer ce que j’ai ressentit.

port

Inetinfo.exe bloque le port Apache2 ? Qu’à cela ne tienne, ctrl alt supr (mes touches préférées) kill inetinfo.exe. Mais comme un problème en invite souvent un autre, ça ne marche pas. Le processus revient toujours.
Un petit tour sur les forums pour apprendre qu’il faut le tuer à partir de services.msc. Pas si simple, car le processus inetinfo.exe, n’apparait pas dans la liste de services… Je commence à devenir rouge de colère à ce moment.
Plusieurs forums et minutes plustard, j’apprends que inetinfo.exe est très justement nommé admninistration ISS dans services. « Evidemment, ça coule de source, merci microsoft pour cette cohérence ».

Finalement j’ai réussi à acceder à localhost après cet aventure. Maintenant et en suivant les conseils biens avisés de Joomla pour les nuls je commence l’instalation du CMS en local après avoir décompressé le fichier dans le dossier www de easy php. Trop facile…

…néanmoins arrivé à l’étape 4 de configuration de la base mysql :

joomlaEn théorie tout devrait être bon, j’ai suivi à la lettre les étapes des tutos et divers forums (notamment de Joomla) or rien ne fonctionne.
J’ai arrêté la hier soir dépité et entrainé par la fièvre du vendredi soir.

La suite très bientôt…

En attendant je suis preneur de tous les conseils qui vous passent par la tête, merci d’avance.

edit 11h48 : Problème résolu. Un grand merci à ceux qui m’ont épaulé dans cette dure épreuve et merci à twitter.

Merci à Hebiflux et Fetard pour leurs conseils.
Merci à Marion_MdM pour avoir trouvé la solution : rentrer le mdp : mysql lors de la 4ème étape


Indentité numérique et plateformes Web

septembre 28, 2008

Probablement mon prochain sujet de recherche, l’Identité Numérique.

Je me demandais dernièrement si j’étais geek au vu des multiples plateformes web que j’utilise et je me demandais si j’étais le seul. Et bien, je ne pense pas être le seul, d’une part et d’autre part je pense que tous ces médias sociaux et autres outils de sélection de l’information sont indispensables à la création d’une identité numérique.

Cette identité numérique est elle aussi indispensable quand l’on veut profiter pleinement du Web 2.0, qui implique, création de contenu personnel et partage de ce contenu (ex : un blog). On peut donc en conclure quelque part, que le Web 2.0, c’est un peu la mise à disposition pour tous de nos passions, de nos hobbies, de nos usages…

Si nous n’avons pas d’identité sur le Web, nous aurons aussi beaucoup de mal à faire partie d’une communauté.
Ainsi je me demande maintenant, par quoi passe la constitution de notre identité numérique et quel impact a celle-ci sur notre insertion dans une communauté.

Voici une mise en image de ce qui, pour moi, constitue l’identité numérique :

J’attends vos remarques 🙂


On est Geek quand on utilise combien de médias sociaux ?

septembre 16, 2008

Je faisais tout à l’heure un petit travail de mémoire qui consitait à retrouver sur combien de sites je suis inscrit. Que ce soit pour mon usage quotidien ou non. Avec horreur je me suis aperçu qu’il y en avait une multitude.

Je pense ne pas être le plus Geek de tous et que beaucoup d’entre vous sont bien plus présent que moi sur la toile. Je me demande donc si notre utilisation des plateformes de partage de médias, réseaux sociaux, univers virtuels, outils de micro bloging, de discussion, flux rss… n’est pas abusive.

Énumération bête et méchante

Flux RSS
Netvibes : Il contient 12 onglets et en moyenne 5 blogs par onglet = 60 blogs que je consulte avec amour

Email et discussion instantané
Gmail
Hotmail
Skype

Micro bloging
Twitter : sans commentaire je suis accro
Plurk : moins en ce moment mais présent pendant un temps
Indenti.ca : occasionnellement
Pownce : pour la forme
Friend feed : surtout pour mon mur sur facebook (très pratique)
Myblog log : je ne sais pas où le ranger

Résaux sociaux
Facebook : ça vous étonne ?
Bebo : pour le fun
Ning : pour le test
Friendster : ça sert à quoi déjà ?
Myspace : je n’y suis pas pour des raisons qui m’échappent 🙂
Viadeo : Faudrait que je l’actualise
Ziki : A jour

Partage de Médias
Flickr : occasionnellement
Delicious : un peu
Youtube : tout le temps
Dailymotion : pas plus d’une fois par jour
Deezer : pas plus de trois heures par jour
Last.fm : pas plus d’une fois par semaine
TumblR : Rarement

Univers Virtuels
Second life : test
Lively :
test
IMVU :
test
Just leap in
: test

Digglike
Digg : Je crois que les blogs français ne sont plus accepté
Mixx : Rarement
Scoopeo :
Très Souvent
Fuzz :
Assez Souvent
Blogasty :
Tous les jours
StumbleUpon :
J’ai changé de PC, je n’ai pas encore réinstallé la tool barre
Wikio :
Tous les jours

MMO, social game, casual games…
Stop sinon la liste sera bien trop longue

Ce qui me donne un total de 35 et vous, où en êtes vous ?


Dragon Ball le film : Akira, excuse les…

septembre 5, 2008

J’ai beaucoup apprécié le billet élogieux de Monsieur Dream sur le film que nous attendons tous, Dragon Ball. Il m’a permis d’apprécier à sa juste valeur, le scénario magnifiquement américanisé.

Pour l’attendre ce film, je l’ai attendu. Depuis le primaire je joue avec mes figurines, je regarde les dessins animés, les OAV, je joue aux jeux tous meilleurs les uns que les autres (sauf Tenkachi) et je lis les mangas. J’écoute encore aujourd’hui les génériques japonnais (chala head chala) d’une qualité inégalable. Imaginez ma réaction quand j’ai appris, il y a quelques mois, que le film allait sortir.

Imaginez maintenant ma réaction quand j’ai vu ça :

Difficile à croire mais cette chose est sensé représenter le héros de toute une génération et par la même occasion le héros le plus puissant de l’histoire (une pichenette et adieu Superman). Vous ne rêvez pas c’est SanGoku. Comment James Wong, le réalisateur du film, a t-il eu la brillante idée de prendre cet acteur maigrichon, typiquement américain (je dirais qu’il vient du fin fond du kentucky), sans charme et surtout à mille lieux de ressembler à Goku ?

Ainsi le synopsis du film nous apprend que SanGoku ne sera pas un être surhumain venant de la planète Vegeta doté d’une queue de singe et vivant dans la forêt mais un lycéen de 18ans qui s’apprête à faire une boum.

Comme si rater le héros le plus charismatique de mon enfance ne suffisait pas, la production a aussi raté avec une aisance incroyable le grand méchant du film, Picolo :

Dans le rôle de Picolo, j’ai nommé James Marsters, il était pas dans Buffy celui là ? Pourquoi il n’y est pas resté ?

Pour finir, car je me fais du mal, l’affiche du film avec Bulma en premier plan :


Dragon force avec Mario Paint, du retrogaming ?

août 21, 2008

De la pure musique en midi… Je vous l’accorde tenir 7 minutes 30 à écouter DragonForce Trough The Fire and Flames dans cet état n’est pas chose facile. Mais appréciez tout de même le travail de l’artiste qui a monté ça avec uniquement avec Mario Paint le jeu de super Nintendo sortie en 1992.

C’est beau de voir à quel point on s’accroche à nos anciens jeux, d’où d’ailleurs le mouvement du RetroGaming que j’apprécie tout particulièrement. En effet les joueurs des années 80 ont décidé de ne pas laisser leur Mastersystem, Commodore 64 et autre Atari 2600 aux oubliettes. C’est pourquoi nous voyons de plus en plus de sites fleurir sur ce thème, sur le pixel art ou encore des jeux flash directement inspirés des grands classiques rétro. On parle d’ailleurs aujourd’hui d’une véritable sous culture du retrogaming.

Ce mouvement nous remémore à tous notre enfance et il est vrai que c’est toujours un plaisir de se réessayer aux jeux auxquels on jouait dans notre jeunesse, autrefois, au siècle d’avant…

Sur ce je vous laisse j’ai mal au dos ;).


Chuck Norris Facts par Mozinor

août 19, 2008

Après ma découverte de tout à l’heure grâce à Such a blog et son article sur la météo du futur (hilarant), j’ai voulu en savoir un peu plus sur le créateur de cette vidéo exceptionnelle. Il apparait que celui-ci s’appelle Mozinor et qu’il n’en est pas à sa première vidéo (j’ai honte, je ne connaissais pas). J’ai donc navigué un petit peu sur son profil dailymotion et j’ai pu découvrir tout un tas de vidéos plus drôles et originales les unes que les autres.

Je vous propose celle des Chuck Norris Facts qui je pense devrait devenir le modèle de ce mouvement (dommage que la voie ne soit pas la bonne). Toutes ces productions sont de qualités d’autant plus que Mozinor fait tout, tout seul et cela depuis 2004.

Pour ceux qui ne l’ont pas vu, voilà ce que sera la météo dans le futur,. C’est à mourir de rire, tellement qu’en une journée elle a été consultée près de 20milles fois et repris par une dizaine de blog :


Parole d’un twitter addict

août 12, 2008

Pour ceux qui ne connaissent pas, Twitter est une plateforme de microbloging permettant de mettre en relation des milliers de personnes en direct et à n’importe quel moment. Chacun post des twitts quand il le souhaite et sur n’importe quel sujet qui s’apparente à un mini billet de blog.

Pourquoi je parle de ça me direz vous. Et bien je suis actuellement en train de rédiger un mémoire dont la première partie est le web 2.0. J’avais besoin hier de contenus bibliographiques et j’ai donc interrogé mon réseau twitter. J’ai eu en l’espace d’une minute, 7 réponses, certaines très pertinentes d’autres humoristiques, mais le fait est qu’il met apparu que cet outil et ce réseau est une source d’informations infini.

Les compétences y sont mélangées, professionnels, étudiants, passionnés dans tous les domaines s’y côtoient pour former une communauté immense et complémentaire.

Pour moi le web 2.0 est la mise à disposition d’outils de construction de contenus et de partage de ces contenus. J’ai bien l’impression que twitter fait une synthèse du web 2.0 en permettant à l’usager de produire un contenu informatif en direct et de le partager avec un grand nombre de personnes.

Pour conclure je dirais qu’il faut multiplier ses contacts pour se créer une mine d’information inépuisable à disposition. Hormis les bugs incessants du service, je suis chaque jour de plus en plus satisfait par twitter.

Pendant que j’y suis je vous propose de me suivre : gregoirelac


Une pulsion m’a poussé à rédiger un article

août 10, 2008

Depuis trop longtemps je n’ai pas rédigé sur ce blog, alors ce soir j’ai décidé de poster, pour me détendre et pour répondre à un besoin terrible et irrépressible d’expression (de gueulante).

Voyage-sncf.com a réussi à me mettre hors de moi. Tous ces services, mal classés, mal définis, ce design incompréhensible, ces boites de dialogues pas toujours utiles, ces temps de chargement interminables et ces prix à en faire pleurer de désespoir Crésus convergent dans une seule et même direction, celle de rendre le client fou.

Je ne vous cacherais pas que naviguer sur ce site me met hors de moi et d’autant plus quand le sujet des S’miles arrive sur la table. Pour 800 points on est sensé bénéficier d’un billet de train à 10 euros. Mais pour profiter de cette offre, il faut obligatoirement passer par le site. C’est la que le combat commence.

Trouver où réserver son billet est déjà une épreuve, mais le faire en plus avec la carte S’miles… Deux boites de dialogue sont prévus à cet effet et comme par hasard aucune des deux ne daignent fonctionner. La première répond tout bonnement que le code de la carte n’est pas valide, pourtant il fonctionne parfaitement sur le site smiles.fr. La seconde page ne répond pas du fait d’un problème serveur.

Résultat, je n’ai pas pu profiter de ma promotion, merci SNCF pour tous ces services rendus (ou pas)…

ps : Cet adresse : http://www.12-25-sncf.com/ amène une fois sur deux à une erreur 404 ou sur une page bugué au possible (du moins en ce moment).

Qu’est ce que la SNCF à comme problème avec les réductions ?


Le web 2 : c’est quoi ce bordel ?

juillet 13, 2008

Comme vous pouvez le constater je ne suis pas très disponible pour seabuzz en ce moment pour la simple et bonne raison que mon autre blog advergame.fr me prend beaucoup de temps. Je ne vais pas vous cacher qu’il m’apporte beaucoup dans ma passion de l’advergame (synthèse parfaite entre le web, le jeu vidéo et le marketing). Enfin passons et place à mon écrit sur le web 2.0.

Qu’est ce que le web 2.0 ?

Aujourd’hui on ne sait plus ce qu’est vraiment le web car celui-ci devient de plus en plus complexe. La multitude d’outils qui sont publiés chaque jour, les milliers de blog, de réseaux sociaux, d’outils de communication en tout genre, de flux rss, de plugins… contribuent à cette mélasse quasi indescriptible, ce concept flou dont tout le monde parle, qu’est le web 2.0.

Je ne donnerais bien sûr pas la réponse à cette question dans cette article mais je vais essayer de résumer en deux points ce que c’est. Résumons le web 2 (vous allez souvent lire web 2 dans mon article :)) en une phrase.

Le web 2.0 met à disposition des outils de construction ET de partage de contenus exportables.

Qu’est ce qu’un contenu exportable ?

Un mot barbare pour pas grand chose car ces contenus sont au nombre de 5 et tout le monde les utilise constamment. On a donc : le texte, la vidéo, la musique, la photo et le jeu vidéo.

Ils sont exportables grâce aux outils que le web nous fournit. Qui n’a jamais vu la même vidéo 2 fois sur youtube et dailymotion, ou la même musique sur deezer et radioblogclub, le même jeu sur jeuxvidéoflash et kongregate ? Voici ce qu’est le caractère exportable du contenu. Les multiples outils du web nous offre la possibilité de partager nos médias à l’infini sur des plateformes différentes pour toucher différentes populations.

Les outils de construction de contenu

La mise à disposition de ces outils est d’abord dû à la démocratisation du haut débit, de l’internet illimité et de son omniprésence grâce au wifi, smartphone…mais aussi des outils de développement, flash, php, silverlight. Sans ça on ne parlerait pas de web 2.0.

Chacun des 5 médias ont des outils bien spécifiques de création mais je crois que le plus important pour comprendre ce qu’est le web 2.0 est bien le blog. Plus qu’un portail d’expression et de communication, le blog est avant tout un des premiers outils qui a permis aux internautes lambdas sans aucune connaissance informatique (programmation html,php) de contribuer réellement à la construction d’internet. Par leurs articles, commentaires… les blogueurs peuvent réagir aux problématiques de toutes sortes, donner leurs avis, partager leurs connaissances et ceci, en temps réel, en un clic de souris et deux touches de clavier.

Grâce à la multiplication des outils de création de plus en plus simples d’utilisation et aux coûts de plus en plus réduit (pictogame pour la création de jeux, logiciel de mix, de montage vidéo et photo, d’encodage…) les internautes ont maintenant la possibilité d’agir sur tout les fronts pour s’exprimer.

Pour résumer les outils de création de contenus sont issus de la démocratisation de l’accès à internet et ont pour résultat l’accroissement du potentiel d’expressions de tous les internautes.

Le partage

Les outils de partage et les médias sociaux sont la partie la plus visible de l’iceberg et c’est là dedans que l’on s’y perd.

Ce que nous offrent les médias sociaux est la possibilité d’échanger, de partager, de classer nos médias (vidéo, texte… vous suivez ?) si durement créés par nous même et les autres.

Une multitude de médias sociaux existe, Frédéric Cavazza a défini 8 types de médias sociaux. Pour ma part je les ai classifié en 4 familles.

1) Tout d’abord les outils de partage de médias.

Il y a les outils de publication tel que les digg like, les blogs, les plateformes wiki, les sites de médias citoyen (agoravox).
Le partage des vidéos (youtube, dailymotion…), musique (deezer, fuzz…), les univers netvibes (agrégateur de flux rss public), liens (del.icio.us), photo (flickr).
Enfin le partage de jeux vidéo avec les plateformes du type kongregate, pictogame, popfly, sims carnival.

2) Les outils de partage d’idées et de dialogue

J’y intègre les outils de discution, msn, gtalk, skype.
Les outils de microblogging : plurk, twitter, friend feed, blog it
Enfin les live coast comme yahoo live.

3) Les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux ont la particularité de faire une synthèse plus ou moins pertinente de tous les outils précédent. Pour exemple, Facebook offre la possibilité outre que créer un réseaux, de publier des articles, des vidéo, photos… de dialoguer en direct comme pour msn, de rassembler ses outils de microbloging (freindfeed, twitter). Mais il existe deux types de réseaux sociaux (pour pas compliquer les choses).

Les macro réseaux (type facebook, bebo) qui connecte tout le monde ensemble. On peut dire que le but de ce genre de réseaux est d’avoir un maximum d’amis :).

Les micro réseaux qui eux sont ultra qualitatif. Je prendrais par exemple NING dans lequel on crée un mini réseau social sur un sujet très précis du type : les adorateurs lyonnais de la version non remasterisé de l’épisode 5 de star wars.

4) Le web immersif

Bon le titre n’est pas terrible mais je suis encore en pour parler avec moi même pour celui-ci.
Dans cette famille j’y intègre les univers virtuels et sociaux du type, second life, IMVU dans lesquels on dialogue, on étend son réseau, on se crée un avatar… L’immersion dans un univers 3D est probablement l’avenir du web, il n’y a qu’à voir l’actualité de Google avec son Lively, le nouveau concurrent de SL qui le revendique. Ça laisse présager ce que sera le 3.0.
Enfin les jeux vidéo MMO RPG du type WOW. Il y en aurait des choses à dire mais pour résumer rapidement, on retrouve dans ce type de jeux les mêmes problématiques que dans les réseaux sociaux, à savoir création de personnalité virtuel, échange d’information, création de réseaux personnels, partage de contenu…

Conclusion : malgré cette mélasse bordélique qu’est le 2.0, j’ai tout de même l’impression que les outils commencent à être reconnaissables et étiquetables, c’est du moins ce que je ressent avec les macro réseaux sociaux.

Le web 2.0 c’est la mise à disposition des outils de construction ET de partage de contenus exportables dans le but de laisser l’internaute modeler son espace virtuel à sa guise.


Sarkozy menacé en Israel ?

juin 25, 2008

Cette vidéo m’a laissé perplexe pas vous ?